Le serious game comme la réalité virtuelle, permettent apporte une expérience sans risque, répétable à l’infini basé sur l’apprentissage par l’expérience.
Le serious game : une valeur sûre
Les serious game sont généralement aujourd’hui plus répandus car plus faciles à déployer.
Les serious games ajoutent de la gamification à l’apprentissage, en ayant recours à des mises en situation et des mécaniques très utilisés dans les jeux vidéo et connus depuis longtemps. De plus, les niveaux d’approches possibles sont différents, en effet les serious game, déployés sur des supports classiques, comme un ordinateur ou une tablette, peuvent être à la fois des jeux en première personne comme des jeux plus haut niveau comme des jeux de gestion.
La réalité virtuelle : tromper le cerveau
Les formations en réalité virtuelle, sont elles, plus immersives : multisensorielles, à l’échelle un, ils trompent davantage le cerveau de l’utilisateur qui en oublient partiellement le réel. Les expériences sont essentiellement à la première personne et les interactions sont plus littérales dans le sens où ils doivent reproduire de la façon la plus fidèles les interactions réelles contrairement aux autres supports ou l’utilisateur est déjà dans une forme d’interprétation ne serait que par l’interface, moins naturelle (ref le traité de réalité virtuelle)
Une des grandes forces de la formation en réalité virtuelle est l’apprentissage de la gestuelle puisque la détection des mains ne cesse de s’améliorer.
Dans cet exemple, nous avons conçu un prototype pour des interactions manipulatoires simples et intuitives :
Néanmoins, jeunesse oblige, il existe moins de cadre et de protocole d’interactions codifiés comme dans le jeu vidéo. Ce qui nécessite des efforts de conceptions adaptés à la cible d’utilisateur. Et prise en compte de critères d’adaptations physiologiques : accommode-vergence, cinétose,..
Faire son choix
Si vous hésitez entre le serious game classique et la formation en réalité virtuelle, voici quelques recommandations pratiques :
- Le mode de déploiement : la réalité virtuelle nécessite un casque avec un coût associé et une acceptation variable. Tout le monde possède un PC ou un téléphone/tablette. Nous recommandons les casques autonomes qui non seulement n’entrave pas l’utilisateur avec un fil mais ne nécessite pas un cout supplémentaire avec la nécessite d’un PC puissant.
- Le type de thématique : plus l’expérience est en première personne, plus le recours à l’immersion VR sera efficace et marquante.
- Le meilleur des mondes est bien de créer une application qui puisse être déployée dans les deux modes. Il est préférable d’envisager cette approche au début de la conception ce n’en sera que plus efficace.
Concernant la réalité virtuelle, vous pouvez en savoir plus en consultant notre article sur les questions à se poser sur la création d’une formation en réalité virtuelle.
Et bien sur vous pouvez allez voir nos références de projets.